l’AG de l’Association des Transporteurs de Marchandises Dangereuses

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L’ATMD (Association des Transporteurs de Marchandises Dangereuses) organisait aujourd’hui son Assemblée Générale annuelle aux Portes de Paris.

Les adhérents et partenaires de l’ATMD ont abordé un sujet opérationnel très sensible lié à la difficulté de recruter des chauffeurs de camions ADR actuellement. Les offres d’emploi sont nombreuses et ont pourtant du mal à être pourvues malgré un taux de chômage national supérieur à 8%. Le manque de chauffeurs s’évalue à 10 000 à 15 000 chauffeurs ADR par an avec des disparités par région. L’Ile de France est très concernée. Les travaux du Grand Paris Express recrute de nombreux chauffeurs pour les bennes à gravats. Ces chauffeurs font défaut dans les autres filières du transport. Les transporteurs de marchandises dangereuses ne sont pas les seuls concernés par cette pénurie. Toute la filière du transport subit ce problème structurel.

Les transporteurs comme les chargeurs se sont remis en cause et ont essayé d’apporter des réponses à cette problématique. Il est à noter que les chargeurs (clients des transporteurs) sont également impactés par cette pénurie. La solution semble être globale : revalorisation des salaires, prise en compte des besoins de concilier vie professionnelle/vie personnelle, d’être mieux respecté, la formation, etc…

Un gros travail est en train d’être fait par la filière pour la rendre plus attractive aux yeux des demandeurs d’emploi.

Il est à noter que les principaux organismes de formations du TMD (AFTRAL, APTH, Promotrans) ont mis également en place des services pour aider leurs clients transporteurs à recruter : le sourcing. Ils ont mis en place un vaste réseau d’information multicanal pour inciter des jeunes à devenir chauffeurs TMD, puis les sélectionnent, et ils les forment pour enfin les proposer aux transporteurs de marchandises dangereuses.

Le PDG de l’AFTRAL, M. Charbonnier, indiquait lors de sa présentation, qu’une équipe de 50 personnes était dédiée au sourcing, un investissement important pour accompagner leurs clients, transporteurs de marchandises dangereuses)

Pour connaître les contacts des organismes de formation : www.solutionstmd.com

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Le RPM et la Division 411 version 2019

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Le code IMDG, règlement international sur le transport maritime de marchandises dangereuses, est complété par des règlements français : le RPM et la Division 411 version 2019.

Au même titre que l’ADR 2019 et son Arrêté TMD 2019, le RPM et la division 411 complètent le code IMDG avec une série d’articles de loi indiquant les obligations faites par la France en matière de transport maritime et de manutention portuaire de marchandises dangereuses.

RPM : règlement portuaire maritime

Vous trouverez en téléchargement libre le RPM et la Division 411 version 2019 sur cette page >>>

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Les conférences du SITL, des rendez-vous incontournables

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Comme chaque année, les conférences du SITL sont des rendez-vous incontournables pour les visiteurs du salon. Cette édition 2019 du SITL Porte de Versailles n’échappe pas à la règle.

Deux grandes conférences ont été organisées sur le thème des réglementations du transport des marchandises dangereuses.

GMJ PHOENIX Editions a animé la conférence sur l’évolution des réglementations TMD. Le thème a visiblement plu puisqu’il a attiré près de 150 personnes. La salle était pleine, des participants se tenaient debout dans les allées ne pouvant trouver de chaises vides.

Il est vrai que les intervenants étaient d’un très bon niveau et qu’ils maîtrisaient très bien le sujet. Ils sont sus rendre vivant un sujet très techniques et très denses.

J’en profite pour les remercier vivement :

AFTRAL, P. Guillemaut, directeur risques et environnement

ANCS, Fx. Carbonne, président

APTH, P. Pichon, directeur de la pédagogie

Sécuridis, R. VANDROUX, dirigeant

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SITL 2019 et la Dangerous Goods Logistic

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GMJ PHOENIX sera présent lors du salon SITL 2019 Porte de Versailles au sein du village Dangerous Goods Logistic du 26 au 28 mars 2019, Pavillon 1.

Ce village regroupera de nombreux prestataires liés aux réglementations sur le transport des marchandises dangereuses (transporteur, fabricant d’emballages UN, formateurs, conseillers à la sécurité externe, éditeurs de logiciel TMD, etc…) en partenariat avec www.solutionstmd.com.

Notre stand « Marchandises dangereuses » portera le numéro L25.

Nous organisons également une conférence sur le thème des changements réglementaires 2019 apportés par les mises à jours des règlements ADR, IATA, IMDG le mercredi 27 mars 2019 de 10h30 à 11h30 salle C en partenariat avec l’AFTRAL, l’APTH, Carbonne Conseil et Sécuridis. A l’issue de cette conférence, un cocktail sera offert aux participants au sein même du village Dangerous Goods Logisitic du SITL 2019 pour répondre aux questions des visiteurs sur les évolutions réglementaires.

Pour obtenir une invitation, n’hésitez pas à nous contacter : info@gmjphoenix.com

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Arrêté TMD consolidé au 1er janvier 2019

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Arrêté TMD : Version consolidée au 1er janvier 2019
L’Arrêté TMD s’appliquant aux transports nationaux ou internationaux des marchandises dangereuses par route, par voies ferrées et par voies de navigation intérieures effectués en France a été consolidé au 1er janvier 2019.

NB : Les clients ayant commandé l’ADR, le RID ou l’ADN 2019 chez GMJ PHOENIX vont bientôt recevoir l’Arrêté TMD 2019 consolidé en version papier par voie postale dans un délai d’environ 2/3 semaines ( le temps de le mettre en page et de l’imprimer )

N’hésitez pas à nous contacter par mail à l’adresse info@gmjphoenix.com pour toute demande d’information.

Pour commander l’ADR 2019cliquez ici>>>

Pour commander le RID 2019cliquez ici>>>

Pour commander l’ADN 2019cliquez ici>>>

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Webinaire gratuit et informatif du NCEC sur les Centres antipoison

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Phoenix, partenaire de l’événement, vous invite au webinaire gratuit et informatif sur les Centres Antipoison en Europe, organisé le le Jeudi 7 Décembre à 15h00 par le NCEC.

« Déclaration aux Centres antipoison – le véritable coût de la non-conformité»

Si vous commercialisez des mélanges soumis à une classification pour effets sanitaires ou physiques sur le marché de l’Union Européenne, et que ces produits n’ont pas été déclarés aux centres antipoison de chacun des États membres, alors vous n’êtes pas en règle, ce qui vous expose à un risque d’action de la part des autorités.

La législation européenne sur les centres antipoison est un domaine réglementaire complexe, chaque État membre ayant sa propre transposition de l’article 45 du règlement CLP – sa propre législation sur les centres antipoison.

L’Annexe VIII au CLP a été publiée en mars de cette année, dans l’intention d’harmoniser ces variations. Toutefois, l’obligation de déclarer les mélanges dans les États membres existe depuis des années, et la publicité récente autour de l’annexe a renforcé non seulement la sensibilisation, mais aussi les contrôles.

Le National Chemical Emergency Centre (NCEC) déclare les mélanges, les biocides et les détergents au nom de certaines des plus grandes entreprises mondiales de l’industrie chimique, et suit le récent renforcement des mesures de répression des entorses à l’obligation des déclarations aux centres antipoison en Europe.

Rejoignez-nous le 7 décembre pour un webinaire gratuit dans lequel nous traiterons :

  • Des questions réglementaires actuelles dans les États membres et des conséquences de la non-conformité.
  • Des conseils sur les mesures stratégiques que vous et votre entreprise devriez prendre pour assurer la conformité dès maintenant et pour garantir une transition sans accroc vers la conformité à partir de 2020.
  • De la mise à jour de l’Annexe VIII par les États membres

 

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Le Nigeria va appliquer le règlement ADR

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Le 18 novembre 2018, le Nigeria va appliquer le règlement ADR sur le transport par route de marchandises dangereuses. Longtemps considéré comme un règlement européen, l’ADRest repris par un grand nombre de pays non-européens sous sa forme directe comme le Nigéria, la Tunisie, le Maroc, etc… ou sous forme de copie par l’Algérie, le Canada, etc…

Cette adhésion a été signée au siège de l’ONU le 18 octobre 2018.

Référence : C.N.506.2018.TREATIES-XI.B.14

Accès au texte officiel >>>

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Les piles au lithium usagées : un déchet difficile à traiter

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Les piles au lithium usagées

Le transport de piles au lithium est complexe et potentiellement dangereux quand elles sont neuves (risque d’explosion, inflammation, toxicité et corrosivité des fumées). Concernant les piles au lithium usagées, le risque est encore plus important à plusieurs titres.

1- La concentration de piles au lithium usagées donc certaines peuvent être endommagées accroît les probabilités d’accident (mélange avec d’autres déchets, sensibilités à l’eau, à l’oxygène voire au mouvement, etc…) et augmentent leur potentiel de dégâts.

2- Les piles au lithium usagées peuvent se retrouver dans les mauvais circuits de retraitement de déchets. Les particuliers les jettent dans les ordures ménagères ou avec l’équipement électronique qu’elles alimentaient en électricité. Les piles au lithium usagées peuvent alors être en contact avec des matières inflammables (papier, cartons, plastiques, etc…). Le risque devient alors très important.

 

Le BARPI a diffusé une note à ce sujet que vous pourrez lire et télécharger au format pdf ci-dessous.

 

Source : Adrac, ADR Audits et Conseils

Note BARPI sur les piles au lithium usagées >>>

Etiquettes pour piles au lithium >>>

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Comment commander des étiquettes de danger?

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Dans un premier temps pour savoir quelles étiquettes de danger commander, vous avez deux possibilités?

La première est de vérifier dans la fiche de données de sécurité (FDS), au point 14, les informations liées au transport des marchandises dangereuses et aux étiquettes de danger à apposer sur les Colis selon les modes de transport.

La deuxième est de se rendre directement dans les réglementations (ADR, IATA DGRIMDGADNRID) en relation avec le mode de transport principal, de rechercher à partir du code ONU (exemple : UN 1263) dans les tableaux récapitulatifs (Tab A pour l’ADR, pages bleues du IATA DGR, etc…) dans la colonne des étiquettes de danger et lire le ou les chiffres qui y sont mentionnés.

Il faudra coller sur l’emballage l’ensemble des étiquettes de danger mentionnées dans ces deux sources d’information. Un même produit dangereux peut avoir plusieurs risques (liquide inflammable et toxique par exemple) et nécessiter l’apposition de 1, 2 ou 3 étiquettes de danger. Dans l’exemple présent, l’étiquette de danger de classe 3 et celle du 6.1 seront nécessaires.

Ces étiquettes devront être collées sur un fond contrastant. Si l’emballage est blanc et que l’étiquette de danger est également un blanche (2.1, 6.1, 6.2, 8 et 9), un cadre en pointillés de 100×100 mm devra venir délimiter l’étiquette de danger.

Aparté : il se peut que la réglementation concernée par le mode de transport puisse imposer d’autres étiquettes (flèches de sens, Cargo Aircraft Only, dangereux pour l’environnement, etc…), à vérifier avant tout envoi.

Une fois les étiquettes de danger définies, il faut les accompagner systématiquement du code ONU ainsi que de la désignation officielle de transport en anglais dans le cas d’un transport aérien ou maritime. Cette désignation officielle de transport figure dans les réglementations TMD (ADR, IATA DGRIMDGADNRID).

Pour quelle matière opter?

Le choix de la matière des étiquettes de danger va dépendre de l’utilisation et du mode de transport choisis.

Si vos marchandises dangereuses doivent prendre la mer, une résistance des étiquettes de danger de 3 mois à immersion dans l’eau de mer est imposée par le code IMDG.

Si vos marchandises dangereuses doivent être stockées en extérieur ou être transportées sans protection face aux intempéries, les différentes réglementations TMD imposent qu’elles résistent aux aléas du transport.

Dans ces deux cas, il est nécessaire que les étiquettes de danger soient en matières synthétiques (vinyle, PP, etc…) avec une colle extra permanente (forte). Le papier ne résistera pas à l’eau

Dans les autres cas, une étiquette de danger en papier adhésif (colle extra permanente tout de même) suffira, idéalement un couché brillant permettant une résistance un peu plus importante aux intempéries que le papier velin (mat et poreux).

Quel conditionnement?

Quand vous avez peu d’étiquettes de danger à coller (jusqu’à 500 par an) les étiquettes à plat suffiront. Si, en revanche, vous avez des volumes plus importants, nous vous conseillons de choisir les rouleaux d’étiquettes, bien plus pratiques au quotidien.

Pour commander des étiquettes de danger ou obtenir un devis >>>

Informations importantes : GMJ PHOENIX possède deux imprimeries en France dédiées à l’impression des étiquettes de danger. Nous maîtrisons l’impression des étiquettes de danger de bout en bout ce qui leurs confère une grande qualité et un respect des règles fixées par les réglementations TMD en vigueur. Ces deux sites sont labellisés imprim’vert.

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Changement des déclarations d’expédition de marchandises dangereuses IATA

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Les déclarations d’expédition de marchandises dangereuses IATA évoluent !

Comme vous le savez, une déclaration d’expédition de marchandises dangereuses IATA est obligatoire pour tout transport de marchandises dangereuses par voie aérienne. Les règles sont strictes et ne souffrent pas de variations (ou d’interprétations) dans la conception des formulaires, tout comme les informations qui y sont reportées. L’organisation IATA vient compléter la réglementation diffusée par l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale en y intégrant les exigences d’exploitation des compagnies aériennes en matière de transport de marchandises dangereuses par avion.

Lors de sa réunion en mars 2018 et suite aux modifications survenues dans la 60ème édition de l’IATA DGR (2019), le Conseil des Marchandises Dangereuses de l’IATA a décidé d’apporter des changements de forme aux déclarations d’expédition de marchandises dangereuses IATA :

– Le remplacement du mot « risk » par « hazardous »
– Le terme « optional » après les mentions « airport of departure » et « airport of destination » sera rajouté
– La fonction du signataire sera retirée du document type
– Le lieu de signature sera également retiré

D’autres changements dans les formulaires seront aussi également mis en place pour faciliter leur traitement automatisé via des scanners couplés à des logiciels OCR du système DG AUTOCHECK (nouveau système d’acceptation des marchandises dangereuses du IATA). Ce système de reconnaissance optique des caractères est capable de lire et de numériser avec précision les données des déclarations d’expédition de marchandises dangereuses IATA, que ce soit pa rapport à leur forme mais aussi leur emplacement. Ces modifications dans la structure des formulaires (Encadrement notamment) permettront une exploitation optimisée et un trafic plus fluide des marchandises dangereuses par voie aérienne.

Cependant ne s’agissant pas de changements critiques pour la sécurité, le conseil de marchandises dangereuses IATA accorde aux expéditeurs jusqu’au 31 décembre 2024 pour passer au nouveau format. Les nouvelles déclarations d’expédition de marchandises dangereuses IATA seront prochainement disponibles en vente chez GMJ PHOENIX.

Accès aux formulaires IATA (attention la réglementation allant être modifiée à partir du 1er janvier 2019, les nouveaux formulaires ne sont pas encore disponibles).

Accès à la réglementation IATA Dangerous Goods R. (la 60ème édition du IATA DGR sera disponible à la vente dernière quinzaine de septembre 2018)

 

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